Il se pose souvent à la cime des grands arbres,
Autant sur un fil électrique, mais il reste de marbre.
Toujours patient avec sa vue perçante,
Savoir voir sans être vu en attendant la déferlante.
Puis cueillir dans ses serres la ballade d’une souris,
De-ci-de-là parmi la garrigue ou la ville, pourvu qu’il soit nourri.
Le faucon est majestueux toujours en mouvement,
Un jour il partira en quête de changement.