La sorte de marre d’ombre étendue sous le parasol,
Diminue peu à peu, elle ressemble maintenant à une parabole.
L’été est bien là, majestueux et rempli de canicule,
Le bleue du ciel azur, nous manipule.
Vat-on se rebaigner ou lire encore,
Je crois que je m’endors.
C’est l’été que diable,
Je flémarde, incroyable !